Encore une dizaine de jours. Pas plus. Une dizaine de jours avant la rentrée, avant que la machine ne se remette à tourner. Une dizaine de jours pour traîner encore un peu,
Ils sont revenus. Ce qu’il reste d’eux, du moins : silhouettes grisonnantes, arrogance intacte et mythe toujours aussi vivace. Oasis est remonté sur scène, convoquant l’imaginaire d’une époque révolue et exhumant une
On ne présente plus l’écrivain napolitain aujourd’hui. Encore moins en France où son œuvre, merveille de poésie et de sensibilité, jouit de toute la reconnaissance qu’elle mérite, grâce notamment à l’admirable travail de traduction de Danièle Valin. Il n’est pas rare qu’une
Aujourd’hui, quelques mots sur « Blessé à mort », de l’auteur napolitain Raffaele La Capria. Initialement traduit et publié au Seuil en 1963, ce roman, lauréat du Prix Strega en 1961, a fait l’objet d’une nouvelle traduction aux Éditions de l’Inventaire en 2007. Depuis,
« La violence révolutionnaire », d’Isabelle Sommier, Paris, Presses de la Fondation nationale des sciences politiques, 2008, 164 p. C’est en 2008, à l’approche du quarantenaire de l’année 1968, marquée par des luttes estudiantines et ouvrières à travers le monde, qu’Isabelle Sommier publie
En 1954, Hannah Arendt consacre un article de La crise de la culture à la notion d’autorité. Elle surprend dès les premières lignes de sa réflexion en affirmant que « l’autorité a disparu du monde moderne[1] » et qu’elle ne peut, dès