
Anna de Noailles, l’ardeur de la bacchante
Anna de Noailles, nietzschéenne ? Porteuse de valeurs dionysiaques ? Surprenant, à première vue, pour une poétesse que l’opinion publique aurait tendance à « classer » (lorsqu’elle ne l’a pas oubliée) parmi les lamartiniennes plaintives et mélancoliques, déclamant langoureusement un chant de